Vélos
14.23.04
4.8 sur 5.
En résumé, Un vélo extrêmement polyvalent, le Troy carbone de Devinci combine efficacité en montée et plaisir en descente. Seul bémol : le choix de la taille présente quelques difficultés en raison du tube horizontal court.
En montée
Notre analyse du Troy s’est limitée à un essai en sentiers (montée et descente). Plus précisément, nous avons roulé dans des sentiers très rocheux, des rampes et des virages serrés qui demandent une attention soutenue en montée. Dans ce type de situations, d’avoir un tube de direction court n’est pas pour aider. En effet, le devant du vélo a tendance à lever plus qu’il ne faut. Mais après une période d’adaptation au vélo, nous avons pu aisément nous débrouiller dans toutes les sections techniques des montées. À cela, ajoutons qu’une taille L aurait été plus adaptée et qu’elle nous aurait épargné quelques efforts additionnels.
En descente
Au début de notre analyse, nous avons souligné que le Troy semblait incarner la définition même du trailbike. Et le fait de régler le vélo en mode descente a renforcé cette position : la suspension arrière (140 mm) réagit mieux que tout autre, peu importe le type d’activités. Si on ne peut minimiser la contribution du Split Pivot, il semble que la nouvelle Monarch Plus semble plus efficace que jamais avec la Rock Shox. Since we can’t tell you about this ammo until the first of April, with this article we won’t reveal what has changed. But I will say that what was changed, changed for the better.
Conclusion
On entend souvent parler de « vélo complet », ce qui en soi constitue un contresens, étant donné la polyvalence des vélos de montagne contemporains. Toutefois, dans la plupart des situations, comme lors de notre essai avec le Troy de Devinci, nous nous sentions en mesure de tout faire, sans vouloir changer de vélo pour autant. Cette monture représente un excellent compromis, offrant flexibilité en montée et plaisir en descente. Le vélo de l’entreprise canadienne excelle tant pour les longs voyages de vélo que pour les descentes les plus techniques et les plus exigeantes. Portez seulement une attention particulière à la taille que vous choisirez.
Bourré de talents
Sa polyvalence a conquis mtb-mag.com
4.8 sur 5.
Nous avons pris en considération: Qualité de la fabrication, Composantes, Montée, Descente
En résumé, Un vélo extrêmement polyvalent, le Troy carbone de Devinci combine efficacité en montée et plaisir en descente. Seul bémol : le choix de la taille présente quelques difficultés en raison du tube horizontal court.
Nous avons eu la chance de mettre à l’essai le Troy carbone de l’entreprise canadienne Devinci au cours du communiqué de presse de SRAM à Moab en Utah. Comme vous pouvez le constater sur les photos, il est monté sur mesure en SRAM et Rock Shox, mais n’est pas offert en vélo complet par Devinci. Vous pouvez toutefois vous procurer le cadre et ajouter les composants à votre guise. C’est un vélo de 27,5 po tout carbone avec 140 mm de débattement arrière et équipé de la suspension Split Pivot, brevetée par Dave Weagle, qui garde la suspension active même au freinage. Devinci classe son Troy Carbon comme un trailbike, ce qui correspond à la catégorie all-mountain pour le marché européen.
En raison de ses 150 mm de suspension à l’avant (Pike RCT3 Solo Air), le Troy offre un excellent dynamisme et une facilité de pédalage.
Le reste des composants saura satisfaire les cyclistes les plus expérimentés :
- Roues SRAM Roam 60 en carbone;
- Transmission 1×11 SRAM X01 avec cassette arrière de 30 dents;
- Nouveaux freins SRAM Guide avec disques de180 mm;
- Amortisseurs Monarch Plus 2015 (plus de détails à venir);
- Tige de selle Rock Shox Reverb Stealth;
- Guidon en carbone Truvativ Black Box Jerome Clementz d’une largeur de 750 mm et d’une élévation de 20 mm;
- Pneus Schwalbe Hans Dampf Evo (2,35 po);
- Poids du vélo sans les pédales : 12,3 kg.
La potence et le guidon (l’avant du vélo?) sont de taille moyenne, et le tube de direction est particulièrement court. Notre testeur de vélo mesurait 1,89 m (6 pieds 3 po), ce qui, conformément au tableau ci-dessous, le placerait exactement entre les tailles moyenne (M) et large (L). Avec le recul par contre, nous aurions préféré un vélo de taille L.
L’inclinaison du tube direction est très prononcée, ce qui représente un avantage si vous devez vous remettre en marche dans une montée abrupte.
La position excentrée du joint arrière de la bascule Axis permet de régler la géométrie du vélo à l’aide d’une clé hexagonale. Vous pouvez consulter les types de réglages ici :
À la position basse (Low) — celle que nous avons utilisée —, la hauteur du mouvement central s’élève à 337 mm, soit 20 mm sous l’axe des roues, ce qui fournit une excellente stabilité dans les virages.
Les haubans arrière, relativement courts pour un vélo de 27,5 po, accentuent la maniabilité du Troy et facilitent la levée du devant du vélo lorsqu’il faut sauter par-dessus des obstacles. Combiné au tube de direction court (comme mentionné ci-dessus), cet aspect rend le Troy extrêmement agile.
Le jeu de pédalier est assez massif; le passage interne des câbles donne un look élégant et raffiné au vélo tout en mettant en évidence sa structure en carbone.
En montée
Notre analyse du Troy s’est limitée à un essai en sentiers (montée et descente). Plus précisément, nous avons roulé dans des sentiers très rocheux, des rampes et des virages serrés qui demandent une attention soutenue en montée.
Dans ce type de situations, d’avoir un tube de direction court n’est pas pour aider. En effet, le devant du vélo a tendance à lever plus qu’il ne faut. Mais après une période d’adaptation au vélo, nous avons pu aisément nous débrouiller dans toutes les sections techniques des montées. À cela, ajoutons qu’une taille L aurait été plus adaptée et qu’elle nous aurait épargné quelques efforts additionnels.
Déjà en montée, nous avons pu apprécier toutes les principales qualités du Troy, notamment son agilité, sur laquelle nous reviendrons dans la section descente. Nous avons pu prendre les virages serrés avec beaucoup d’aise.
Une fois le levier de la suspension Monarch placé à la position du milieu, nous avons pu profiter d’une bonne adhérence de la suspension arrière. Peu importe le terrain, le vélo s’adaptait aux aspérités du sol. Nous ne trouvons rien à redire sur les pneus avec chambre à air en latex, gonflés à 1,8 psi (avant) et 2,0 (arrière).
En descente
Au début de notre analyse, nous avons souligné que le Troy semblait incarner la définition même du trailbike. Et le fait de régler le vélo en mode descente a renforcé cette position : la suspension arrière (140 mm) réagit mieux que tout autre, peu importe le type d’activités. Si on ne peut minimiser la contribution du Split Pivot, il semble que la nouvelle Monarch Plus semble plus efficace que jamais avec la Rock Shox. Since we can’t tell you about this ammo until the first of April, with this article we won’t reveal what has changed. But I will say that what was changed, changed for the better.
Beaucoup d’encre a déjà coulé à propos du Pike, et tout ce que nous pouvons ajouter, c’est qu’il ajoute une belle sensibilité à la Monarch Plus.
La photo ci-dessus montre le Troy dans le Porcupine Rim, une section célèbre du Moab qui comprend une multitude de passages rocheux, des sauts à la tonne (si vous ne déviez pas du sentier), diverses rampes verticales avec paliers que l’on doit aborder à toute vitesse. Autant le vélo que le cycliste sont mis à rude épreuve dans ce trajet de 20 km. Force est d’avouer que nous avons obtenu des résultats bien différents dans le même sentier avec un autre vélo le lendemain. Notre verdict est donc le suivant : le Troy « Édition SRAM » de Devinci fait dorénavant partie des vélos à posséder dans notre garage.
À l’évidence, les roues en carbone représentent un luxe que tout le monde ne peut ou ne veut pas se permettre. Malgré tout, c’est sur ce genre de sentier qu’on en estime toute la valeur : même si elles ont dû endurer un barrage de roches, et que les pneus étaient « presque finis », les roues Roam 60 n’ont pas bronché d’un iota. Les résultats de notre test spécifique ont été sans équivoque.
L’angle de braquage de 67° (position basse), standard pour un vélo 27,5 po, nous semble un bon compromis entre agilité et stabilité. Cet angle représente la limite pour le Troy lorsqu’on le roule à toute vitesse et parce que son tube de direction est court. Disons que pour un trailbike avec 140 mm de débattement, il se situe bien au-dessus de la moyenne, mais étant donné ses caractéristiques en descente, on a plutôt tendance à pédaler à fond alors qu’on devrait favoriser le frein avec un vélo de même catégorie.
Ce vélo montre une rigidité exemplaire. Comme il est précis dans les courbes, c’est un plaisir de l’« écraser » lorsqu’on le penche au-dessus de notre genou extérieur. Autre aspect intéressant : la combinaison du pédalier en carbone et du jeu de pédalier surdimensionné.
Parlant du pédalier, le groupe X01 a fonctionné sans anicroche, affichant une précision exemplaire dans les changements de vitesse et une constance pour garder la chaîne haute. Nous n’avons éprouvé aucun problème, même sans tendeur de chaînes. Les ingénieurs de XX1 n’ont donc pas perdu leur temps en venant en faire l’essai à Moab.
Également digne de mention est le nouveau guide SRAM, même si nous vous l’avons présenté récemment. La section finale du Porcupine Rim sollicite beaucoup les freins. Pourtant, ceux-ci sont restés performants, précis quant au point de freinage et puissants même lorsque chauffés. Durant la descente vers la rivière Colorado, aucun des sept cyclistes ne produisait de bruit de freins, et ce, même si le groupe n’a fait aucun arrêt.
Conclusion
Nous sommes d’avis que le groupe n’est pas du même calibre que ceux des vélos haut de gamme offerts sur le marché. Malgré tout, le cadre offre un excellent rendement, peu importe les composants. Prenez en considération que cet essai était comme un épisode de Top Gear.
On entend souvent parler de « vélo complet », ce qui en soi constitue un contresens, étant donné la polyvalence des vélos de montagne contemporains. Toutefois, dans la plupart des situations, comme lors de notre essai avec le Troy de Devinci, nous nous sentions en mesure de tout faire, sans vouloir changer de vélo pour autant. Cette monture représente un excellent compromis, offrant flexibilité en montée et plaisir en descente. Le vélo de l’entreprise canadienne excelle tant pour les longs voyages de vélo que pour les descentes les plus techniques et les plus exigeantes. Portez seulement une attention particulière à la taille que vous choisirez.
Article et photos: Marco Toniolo
Nous avons pris en considération: Qualité de la fabrication, Composantes, Montée, Descente
En résumé, Un vélo extrêmement polyvalent, le Troy carbone de Devinci combine efficacité en montée et plaisir en descente. Seul bémol : le choix de la taille présente quelques difficultés en raison du tube horizontal court.
Nous avons eu la chance de mettre à l’essai le Troy carbone de l’entreprise canadienne Devinci au cours du communiqué de presse de SRAM à Moab en Utah. Comme vous pouvez le constater sur les photos, il est monté sur mesure en SRAM et Rock Shox, mais n’est pas offert en vélo complet par Devinci. Vous pouvez toutefois vous procurer le cadre et ajouter les composants à votre guise. C’est un vélo de 27,5 po tout carbone avec 140 mm de débattement arrière et équipé de la suspension Split Pivot, brevetée par Dave Weagle, qui garde la suspension active même au freinage. Devinci classe son Troy Carbon comme un trailbike, ce qui correspond à la catégorie all-mountain pour le marché européen.
En raison de ses 150 mm de suspension à l’avant (Pike RCT3 Solo Air), le Troy offre un excellent dynamisme et une facilité de pédalage.
Le reste des composants saura satisfaire les cyclistes les plus expérimentés :
- Roues SRAM Roam 60 en carbone;
- Transmission 1×11 SRAM X01 avec cassette arrière de 30 dents;
- Nouveaux freins SRAM Guide avec disques de180 mm;
- Amortisseurs Monarch Plus 2015 (plus de détails à venir);
- Tige de selle Rock Shox Reverb Stealth;
- Guidon en carbone Truvativ Black Box Jerome Clementz d’une largeur de 750 mm et d’une élévation de 20 mm;
- Pneus Schwalbe Hans Dampf Evo (2,35 po);
- Poids du vélo sans les pédales : 12,3 kg.
La potence et le guidon (l’avant du vélo?) sont de taille moyenne, et le tube de direction est particulièrement court. Notre testeur de vélo mesurait 1,89 m (6 pieds 3 po), ce qui, conformément au tableau ci-dessous, le placerait exactement entre les tailles moyenne (M) et large (L). Avec le recul par contre, nous aurions préféré un vélo de taille L.
L’inclinaison du tube direction est très prononcée, ce qui représente un avantage si vous devez vous remettre en marche dans une montée abrupte.
La position excentrée du joint arrière de la bascule Axis permet de régler la géométrie du vélo à l’aide d’une clé hexagonale. Vous pouvez consulter les types de réglages ici :
À la position basse (Low) — celle que nous avons utilisée —, la hauteur du mouvement central s’élève à 337 mm, soit 20 mm sous l’axe des roues, ce qui fournit une excellente stabilité dans les virages.
Les haubans arrière, relativement courts pour un vélo de 27,5 po, accentuent la maniabilité du Troy et facilitent la levée du devant du vélo lorsqu’il faut sauter par-dessus des obstacles. Combiné au tube de direction court (comme mentionné ci-dessus), cet aspect rend le Troy extrêmement agile.
Le jeu de pédalier est assez massif; le passage interne des câbles donne un look élégant et raffiné au vélo tout en mettant en évidence sa structure en carbone.
En montée
Notre analyse du Troy s’est limitée à un essai en sentiers (montée et descente). Plus précisément, nous avons roulé dans des sentiers très rocheux, des rampes et des virages serrés qui demandent une attention soutenue en montée.
Dans ce type de situations, d’avoir un tube de direction court n’est pas pour aider. En effet, le devant du vélo a tendance à lever plus qu’il ne faut. Mais après une période d’adaptation au vélo, nous avons pu aisément nous débrouiller dans toutes les sections techniques des montées. À cela, ajoutons qu’une taille L aurait été plus adaptée et qu’elle nous aurait épargné quelques efforts additionnels.
Déjà en montée, nous avons pu apprécier toutes les principales qualités du Troy, notamment son agilité, sur laquelle nous reviendrons dans la section descente. Nous avons pu prendre les virages serrés avec beaucoup d’aise.
Une fois le levier de la suspension Monarch placé à la position du milieu, nous avons pu profiter d’une bonne adhérence de la suspension arrière. Peu importe le terrain, le vélo s’adaptait aux aspérités du sol. Nous ne trouvons rien à redire sur les pneus avec chambre à air en latex, gonflés à 1,8 psi (avant) et 2,0 (arrière).
En descente
Au début de notre analyse, nous avons souligné que le Troy semblait incarner la définition même du trailbike. Et le fait de régler le vélo en mode descente a renforcé cette position : la suspension arrière (140 mm) réagit mieux que tout autre, peu importe le type d’activités. Si on ne peut minimiser la contribution du Split Pivot, il semble que la nouvelle Monarch Plus semble plus efficace que jamais avec la Rock Shox. Since we can’t tell you about this ammo until the first of April, with this article we won’t reveal what has changed. But I will say that what was changed, changed for the better.
Beaucoup d’encre a déjà coulé à propos du Pike, et tout ce que nous pouvons ajouter, c’est qu’il ajoute une belle sensibilité à la Monarch Plus.
La photo ci-dessus montre le Troy dans le Porcupine Rim, une section célèbre du Moab qui comprend une multitude de passages rocheux, des sauts à la tonne (si vous ne déviez pas du sentier), diverses rampes verticales avec paliers que l’on doit aborder à toute vitesse. Autant le vélo que le cycliste sont mis à rude épreuve dans ce trajet de 20 km. Force est d’avouer que nous avons obtenu des résultats bien différents dans le même sentier avec un autre vélo le lendemain. Notre verdict est donc le suivant : le Troy « Édition SRAM » de Devinci fait dorénavant partie des vélos à posséder dans notre garage.
À l’évidence, les roues en carbone représentent un luxe que tout le monde ne peut ou ne veut pas se permettre. Malgré tout, c’est sur ce genre de sentier qu’on en estime toute la valeur : même si elles ont dû endurer un barrage de roches, et que les pneus étaient « presque finis », les roues Roam 60 n’ont pas bronché d’un iota. Les résultats de notre test spécifique ont été sans équivoque.
L’angle de braquage de 67° (position basse), standard pour un vélo 27,5 po, nous semble un bon compromis entre agilité et stabilité. Cet angle représente la limite pour le Troy lorsqu’on le roule à toute vitesse et parce que son tube de direction est court. Disons que pour un trailbike avec 140 mm de débattement, il se situe bien au-dessus de la moyenne, mais étant donné ses caractéristiques en descente, on a plutôt tendance à pédaler à fond alors qu’on devrait favoriser le frein avec un vélo de même catégorie.
Ce vélo montre une rigidité exemplaire. Comme il est précis dans les courbes, c’est un plaisir de l’« écraser » lorsqu’on le penche au-dessus de notre genou extérieur. Autre aspect intéressant : la combinaison du pédalier en carbone et du jeu de pédalier surdimensionné.
Parlant du pédalier, le groupe X01 a fonctionné sans anicroche, affichant une précision exemplaire dans les changements de vitesse et une constance pour garder la chaîne haute. Nous n’avons éprouvé aucun problème, même sans tendeur de chaînes. Les ingénieurs de XX1 n’ont donc pas perdu leur temps en venant en faire l’essai à Moab.
Également digne de mention est le nouveau guide SRAM, même si nous vous l’avons présenté récemment. La section finale du Porcupine Rim sollicite beaucoup les freins. Pourtant, ceux-ci sont restés performants, précis quant au point de freinage et puissants même lorsque chauffés. Durant la descente vers la rivière Colorado, aucun des sept cyclistes ne produisait de bruit de freins, et ce, même si le groupe n’a fait aucun arrêt.
Conclusion
Nous sommes d’avis que le groupe n’est pas du même calibre que ceux des vélos haut de gamme offerts sur le marché. Malgré tout, le cadre offre un excellent rendement, peu importe les composants. Prenez en considération que cet essai était comme un épisode de Top Gear.
On entend souvent parler de « vélo complet », ce qui en soi constitue un contresens, étant donné la polyvalence des vélos de montagne contemporains. Toutefois, dans la plupart des situations, comme lors de notre essai avec le Troy de Devinci, nous nous sentions en mesure de tout faire, sans vouloir changer de vélo pour autant. Cette monture représente un excellent compromis, offrant flexibilité en montée et plaisir en descente. Le vélo de l’entreprise canadienne excelle tant pour les longs voyages de vélo que pour les descentes les plus techniques et les plus exigeantes. Portez seulement une attention particulière à la taille que vous choisirez.
Article et photos: Marco Toniolo
